Depuis l’exil
Je désire inextinguiblement la vie. Ça bout sous mes jours merdeux et mes nuits ternes, l’œil ahuri, grand ouvert, jaune et rougi, au milieu…
Je désire inextinguiblement la vie. Ça bout sous mes jours merdeux et mes nuits ternes, l’œil ahuri, grand ouvert, jaune et rougi, au milieu…