Dans une ville qui nous est étrangère, c’est la surface des bâtiments qui ressort au premier abord.
Dans cette série Façades, j’expose une vision métaphorique d’un monde dénué d’âme. Celle-ci évoque un quotidien sous forme de décors, un monde inconnu qui ne serait qu’une image, sans espace intime, l’apparence pour seul refuge.
Corps partagés. Raphaëlle Lavaud Bonnard, « Passions suspendues », collection « Carnets d’artistes », Éric Higgins, Saint Jean de Mont, 2016. Raphaëlle Lavaud Bonnard fait émerger de l’ombre…
Matthis&Co
J’aime beaucoup ! c’est très original l’oeil y prend gouts de suite !
Beau travail !